EXIL ET REFUGES

Nouveau livre de Stéphane Jardin

 Au sujet de Stéphane jardin

C’est à la fois par le biais de mon grand-père, lui aussi auteur de poèmes, et des textes de groupes que j’écoutais adolescent (et continue d’écouter), au premier rang desquels le groupe anglais And Also The Trees, dont j’ai d’ailleurs traduit les textes, que l’envie d’écrire m’est tout d’abord venue.

S’en est suivie la découverte des grands poètes, principalement de la seconde moitié du 19e (Baudelaire, Rimbaud, Rollinat, Verhaeren, St Pol Roux, Lautréamont… la liste n’est pas exhaustive). Une autre influence majeure, plus récente, est Henri Michaux.

Convaincu que des passerelles existent entre les diverses formes d’art, ma poésie se nourrit par ailleurs de références picturales, musicales, ou encore cinématographiques (d’où, d’ailleurs, sa dimension visuelle). 

Outre le prix décerné par la Société des Poètes Français, j’ai obtenu, dans le domaine de la poésie, les distinctions suivantes : j’ai fait partie, à 23 ans, des dix jeunes auteurs sélectionnés dans le cadre du Prix Arthur Rimbaud. J’ai obtenu une récompense, à la même époque, des Jeux Floraux de Toulouse.

Une dizaine d’années plus tard, un sonnet de moi a été sélectionné et édité par l’Association de Soutien à l’Animation Culturelle (ASAC) de Lyon.

Plus récemment, j’ai obtenu le 3e prix dans la catégorie « sonnets » dans le cadre du concours organisé par

les Amitiés Littéraires du Val d’Orléans (ALVO). Deux autres sonnets de moi ont été édités à l’occasion des concours Flammes Vives de la Poésie en 2019 et du Prix Arthur Rimbaud en 2023.

Je précise que je n’ai qu’assez peu participé aux concours, quelque peu rebuté par la relative médiocrité des œuvres récompensées, et une incompréhension assez surprenante de la part des jurys à l’égard de l’univers que je propose (et dont je revendique au demeurant la cohérence et la clarté).   

J’ai par ailleurs écrit quantité d’autres poèmes, ainsi que des nouvelles (dans un genre fantastique) et deux romans (Un Conte Jaune, se rattachant à un genre de fantastique rural, et L’Horloger, récit intimiste infusé des Gnossiennes d’Erik Satie).

Prix Anna de Noailles 2022 de la Société des Poètes Français

Que ce soit en vers classiques, néo-classiques, en prose ou dans une moindre mesure en vers libres, l’auteur du présent recueil se fait fort de défendre une esthétique personnelle se composant d’onirisme, de sensualité, d’étrangeté, ainsi que d’une conception végétale de la Femme.

C’est vers cette Beauté, par essence insaisissable et dont certaines femmes, appartenant à l’espèce précieuse des porteuses de lumière, sont les dépositaires terrestres, qu’il s’efforce de tendre. Son style, d’un baroque revendiqué, est avant tout visuel, riche en images et incluant la recherche d’une musicalité qui, de son point de vue, fait trop souvent défaut à nombre de productions contemporaines.

L’idée est de provoquer chez le lecteur une heureuse surprise, en d’autres termes de concilier les concepts, a priori paradoxaux, d’étonnement et d’évidence, persuadé qu’est l’auteur que ce n’est qu’à cette condition que l’on affleure une forme d’exaltation.

Stéphane Jardin a par ailleurs écrit quantité d’autres poèmes (dont certains primés à l’occasion de concours), ainsi que des nouvelles (dans un genre fantastique) et deux romans (Un Conte Jaune, se rattachant à un genre de fantastique rural, et L’Horloger, récit intimiste infusé des Gnossiennes d’Erik Satie).

 

Stéphane Jardin

Stéphane Jardin

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Auteur d’Exil ET REFUGES