Description
François Szabó dans le recueil poétique Là où rien ne s’achève trouve dans le savoir clos la réponse adéquate à la vérité affective. L’émerveillement est là où on le guette, à portée de toute âme sensible et sensée. Puisque donner sens, montrer à voir, réverbérer la lumière procède d’un même mouvement, d’une même inclinaison, aimer est donc se réaliser, œuvrer consciemment pour un monde tolérant et accueillant. Pour cette splendeur gravée dans le temps devenue stèle repère à tout jamais. Sans renier une certaine sensualité de la langue, vie demeure affirmation.
François Szabó est poète, né en 1967 à Montpellier. Il est auteur de près d’une soixantaine de recueils écrits en français, américain, catalan, castillan, russe et italien, sociétaire de la bienveillante Société des Poètes Français, membre de l’Academy of American Poets (qui œuvre au quotidien pour la poésie avec notamment Poem a Day), de Poetas del Mundo (clairement en faveur de la paix), 100 Thousand Poets for Change (qui incite aux rencontres poétiques sur tous les continents), World Poetry Movement (avec le Festival de Medellín), adhérent de l’Agence du Livre Occitanie Livre et Lecture, membre de la Maison de la Poésie Jean Joubert et du Col.lectiu Pere Quart.
Cogau –
« Là où rien ne s’achève » de François Szabó est un court recueil de 51 poèmes brefs de 3 ou 4 lignes, écrits en majuscules, dans la continuité de son précédent recueil « Poèmes à l’orée du temps », dédié à Carole.
Sa prose poétique et métaphorique invite à l’introspection et à la contemplation.
En quête de sens, le protagoniste revisite des souvenirs, des épreuves, qui ont façonné sa vie, invitant le lecteur à s’interroger sur sa propre histoire et l’invitant à se renouveler.
Passé et présent sont liés dans ces récits qui invitent à réfléchir sur la vie ou les choix qui nous guident, entre espoirs et regrets.
Les thèmes de la mémoire, de la perte, de la résilience, et surtout de l’amour, chers à François Szabó, s’y dévoilent.