Idylles de Narbonne

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Un livre pour déambuler au gré des vestiges d’une ville, Narbonne, qui nous entraîne de l’Antiquité romaine à sa modernité. Un petit guide poétique pour raconter l’histoire de ceux qui ont construit la ville de Narbonne, l’ont habitée, animée depuis le IIe siècle avant notre ère. Après avoir été un port, une ville romaine, le Moyen Âge s’est installé et la vie a continué son cours pour offrir aujourd’hui une belle cité à découvrir et où il fait bon vivre.

Zaïna Folco, écrivain biographe, poétesse et lectrice, a parcouru la vie en passant par la poésie des mots et des corps en mouvement. Danseuse et chorégraphe, elle affirme que la pluridisciplinarité permet de s’ouvrir à l’autre, de s’ouvrir au monde.

Description

Ce recueil de poésie est conçu comme un guide de voyage qui permet au promeneur curieux de découvrir les beautés de la ville de Narbonne autrement qu’avec un simple guide touristique.

Son histoire commence à la création de la cité romaine au IIe siècle avant notre ère. Les poèmes racontent l’arrivée des Romains, la position des Ellysiques, habitants de l’endroit au moment de la conquête. Puis, le temps venant, comment les relations qui s’établissent entre les assaillants et les autochtones ont pu former une nouvelle civilisation : les Gallo-Romains.

Les vestiges de la ville vivent à travers les poèmes qui racontent leur histoire dans l’Histoire.

Puis venant du nord ou du sud, chaque conquérant trouvera une place éjectable en laissant une trace de son passage que la poésie aime à magnifier.

Si la Narbonne d’hier trouve place dans les poèmes sur le musée ou les sites archéologiques, la Narbonne d’aujourd’hui raconte la vie sur les quais animés du canal piétonnier qui traverse le cœur de ville.

Ensuite, la poésie continue à vanter la beauté des alentours de la cité, le bleu lumineux de la mer, ses étangs soyeux où les oiseaux aiment se retrouver.

Sans oublier de conter quelques vestiges d’inventions comme le télégraphe Chappe sur les hauteurs de Narbonne.

Enfin, un dernier petit poème à la mémoire du « Fou chantant » né à Narbonne : Charles Trenet.

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